22 févr. 2011

« Concertation et pétitions. »

Pendant que l’on parle d’un projet ministériel de « concertation », les artistes signent des pétitions.
Pour comprendre, lire la rubrique hebdomadaire du 22 février de Christine Sourgins sur son blog. 
Cliquez ici.

PETITIONS :
1. "Les artistes contemporains plasticiens sont en danger" - Cliquez ici
2. Sur "Le droit de suite" - Cliquez ici
La pétition signée est à adresser à : ADAGP, Pétition Droit de suite, Hôtel Salomon de Rothschild, 11 rue Berryer, 75008 Paris. Ou par mail : gonzales@adagp.fr

14 janv. 2011

« La société du mépris de soi »(essai de François Chevallier)

« La société du mépris de soi. De l’Urinoir de Duchamp aux suicidés de France Télécom ».
(essai de François Chevallier)
« Comment ne pas voir que l'art du dernier demi-siècle dément catégoriquement le discours euphorisant des médias ? Non, l'homme occidental n'est plus cet être conquérant qui échappe au temps et à la mort grâce à son insatiable créativité. L'homme occidental d'aujourd'hui souffre et dépérit, perd ses cheveux et ses spermatozoïdes, et courbe l'échine devant tous les pouvoirs comme il ne l'avait jamais fait. Comment expliquer cette fascination pour les représentations les plus piteuses de lui-même d'un homme qui n'avait cessé depuis des millénaires de se représenter en dieu, en phénix ou en roi ? François Chevallier propose une réflexion faisant apparaître l'art comme un véritable outil anthropologique – le révélateur involontaire donc impartial de la santé morale d'une société. » (4° de couv.)
Sur le site fluctuat.net :

12 janv. 2011

« L’Etat face au marché de l’art : cinq questions au ministre. »

par Nathalie Heinich
Article paru dans Libération du 7 janvier.
Sur « la question des limites dans lesquelles un établissement public peut collaborer avec le marché de l'art ...»
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3 janv. 2011

« Les reliques barbares vont-elles terrasser les arts conceptuels ?»

par Aude de Kerros
Article paru dans MoneyWeek n°111.
« Les collectionneurs et les banquiers sont devenus des artistes financiers œuvrant à rebours des alchimistes : ils ne transmutent plus de la matière en or, ils créent de la richesse conceptuelle.» 
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16 sept. 2010

« L’aristocratie de l’argent »

Dans un livre récent, les deux sociologues Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon révèlent en quoi notre démocratie parlementaire repose sur une « oligarchie » qui concentre le pouvoir et les richesses. Les deux sociologues parlent même d’une « aristocratie de l’argent » qui ne se limite pas à une couleur politique particulière et qui se caractérise par l’utilisation délibérée de « réseaux ». Ces réseaux s’entretiennent et se développent selon des rituels mondains qui n’ont rien d'anodin et dont la frivolité n’est qu’apparente. Nombreux sont les artistes qui ont été confrontés depuis longtemps à une telle réalité. C’est pourquoi les propos des deux sociologues ont toute leur place ici mais il est clair que l’on n’insistera jamais assez sur l’aspect récurrent d’une telle « aristocratie » :
« …Au sommet de la société, il y a aujourd’hui des gens qui cumulent non seulement toutes les richesses, mais aussi tous les pouvoirs… » (2). « La force de l’oligarchie au pouvoir, ce sont ses réseaux, et les remplaçants potentiels sont nombreux, à droite mais aussi à gauche… » (3). « …L’aristocratie de l’argent cultive ses réseaux, elle en hérite, elle les entretient, elle s’attache à les développer. Réceptions, vernissages, parties de golf, on passe beaucoup de temps en mondanités d’apparence futiles, mais en fait essentielles. Un verre au bar de son cercle permet de rencontrer tel ministre, tel conseiller du président, tel banquier, tel patron d’entreprise ou de médias. On parle, on devient intime, on s’épaule, on se soutient. Chacun multiplie son pouvoir par le pouvoir des autres, augmentant d’autant la puissance de l’ensemble… » (4).

(1) Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon, « Le président des riches, enquête sur l’oligarchie dans la France de Nicolas Sarkozy », éd. Zones, 2010.
(2)
Monique Pinçon-Charlot in Télérama n°3166, 18-24 sept 2010, p.18-22 (entretien de Michel Abescat avec les sociologues Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon).
(3)
Monique Pinçon-Charlot, Ibidem.
(4) Michel Pinçon, Ibidem.

9 févr. 2010

Les "visuels" sont sur la touche...

par Michel De Caso.
Les "visuels" sont sur la touche. Ils n'ont pas la cote. Cela, nous le savions déjà mais placer les "visuels" dans un statut de non-activité ou de non-existence sur le web, là, leur mise sur la touche semble relever d'un véritable aveuglement, dans tous les sens du terme, allant bien au-delà de l'habituel discrédit accordé aux praticiens de la touche picturale.
Pour preuve, le rapport de la mission "Création et Internet" qui propose de venir en aide aux industries de la musique, du cinéma-audiovisuel et du livre mais qui ne fait aucune référence aux "arts visuels", pourtant présents sur Internet et ce, depuis le début de ce média !
Il est vrai que les "visuels" ne racontent pas ce qu'ils voient et sont sans doute peu doués pour défendre par les mots leur métier. L'écrivain et académicien Jean Dutourd, qui eut comme premier mode d'expression la peinture, écrit dans "Pluche ou l'amour de l'art" :
"Etant peintre, le plus développé, le plus expérimenté de mes cinq sens est la vue. Je suis un "visuel". Or, ce que j'écris est étrangement dépourvu de description et de couleur (...) Décrire avec des mots, peindre avec des mots ne m'intéresse pas. J'ai mon pinceau pour cela. Les "visuels" voient, parfois reproduisent ; ils ne racontent pas ce qu'ils voient."
Lire le communiqué de presse de la Maison des Artistes.

13 janv. 2010

De l'art de la confusion

par Martine Salzmann.
Essai de déconstruction de l’éditorial de la Xe biennale de Lyon.
Décryptage écrit pour le dossier " Parlez-vous art contemporain ? " paru dans le numéro 97 de la revue Artension (septembre - octobre 2009).
Cliquez ici pour accéder au fichier pdf

19 déc. 2009

Le Livre Noir de la Peinture

par Marie Sallantin et Pierre-Marie Ziegler.
« Ce livre* montre, grâce à un ensemble de 90 citations recueillies au cours de ces 20 dernières années comment un certain nombre d’intellectuels, inspecteurs de la création et plasticiens ont condamné et marginalisé la peinture. L’art officiel a effacé arbitrairement la peinture en France.
Les grands musées et centres d’art ne l’ont plus exposée. Les Ecoles des Beaux Arts ne l’ont plus enseignée. Les fabricants d’art officiel ont la parole et c’est un choc. Chaque citation est référencée et datée.»
* cliquez ici pour accéder à ce livre
(librement et sous forme numérique).

17 nov. 2009

L'Art et la "Très Grande Crise" / Art and the ‘Very Great Crisis’

Communication d'Aude de Kerros à l'Institut des Beaux Art, 25 mars 2009.
En Français : L'Art et la "Très Grande Crise" - cliquez ici (fichier pdf)
In English : Art and the ‘Very Great Crisis’ - click here (file pdf)

21 mai 2009

Le Cube blanc est-il une arme culturelle ?

par Martine Salzmann.
« Cet article est un essai de déconstruction du livre de O'Doherty, /White Cube, L'espace de la galerie et son idéologie/, dont la traduction française a été publiée au mois de novembre 2008. Il m'a paru opportun de m'attaquer à un écrit de politique artistique US qui démontre que l'AC est une production consciente, concertée et cohérente, dont les symptômes récurrents sont orchestrés de mains de maîtres. Ce livre assume par exemple, en toutes lettres, que "l'agression du spectateur" est un indice de l'efficacité esthétique d'une œuvre qui prouve son degré de modernité ou bien que l'espace de la galerie requiert l'aliénation de l'artiste pour qu'il puisse y entrer. Mon essai /Le cube blanc est-il une arme culturelle ? essaie de définir aussi la notion d'arme culturelle. Comment un produit culturel peut-il sous un aspect de parfaite neutralité, fonctionner comme une arme de destruction.O'Doherty travaille à renverser la valeur traditionnellement accordée aux œuvres d'art en faveur de l'espace de la galerie. Pour lui c'est l'espace de la galerie qui est l'œuvre d'art. Ce qui s'y expose est réduit à l'état de chose inanimée, tâche de couleur ou ligne graphique animant la blancheur idéale de son volume (d'où la fortune des ready-made ). Cette inversion conceptuelle représente un contre-mouvement intellectuel dont les conséquences sont immenses. Elle ne manquera pas d'infiltrer nos sphères culturelles d'une réactivation chaotique redoutable et proportionnée à l'assujettissement. Mon article permet, je l'espère, de voir /en live/ comment une politique artistique (de manipulation des perceptions) procède pour inoculer des idées dont la propagation vise à réduire à néant l'énergie créatrice et intellectuelle des artistes.»
Cliquez ici pour lire l'article entier (fichier pdf)

30 avr. 2009

Questions béantes à propos de la "Force de l'art 02".

par Aude de Kerros.
Questions béantes destinées aux au Ministre de la Culture, aux hommes politiques aux amateurs d'art, aux médias, aux élites de ce pays.
Cliquez ici pour lire la suite

7 mars 2009

« Le marché de l'art est-il devenu purement spéculatif, sans réels enjeux esthétiques ? »

ARTE TV - Jeudi 12 mars 09, 22h10 - « Paris-Berlin, le débat »
Débat animé par Isabelle Giordano entre Judith Benhamou (journaliste), Aude de Kerros (artiste et critique), Anne-Marie Bonnet (historienne d'art) Magda Danysz (galeriste).
« Comment faire la part entre l'oeuvre, le coup médiatique et la spéculation quand on sait que l'artiste le plus cher du moment, Jeff Koons, est un ancien trader et a vendu sa dernière production (un coeur rose en acier inoxydable) à plus de 23 millions de dollar ? Ou quand on apprend que Damien Hirst, artiste très en vogue dans le milieu des oligarques occidentaux, a cédé aux enchères chez Sotheby's une dizaine d'oeuvres pour près de 140 millions d'euros ? Les acteurs du marché de l'art (galeristes, collectionneurs, institutions publiques...) sont souvent plus préoccupés par la spéculation que par les enjeux esthétiques. Dans ces conditions, ne sont-ils pas les premiers responsables de la décrédibilisation de l'art contemporain ? »

3 févr. 2009

Comment changer le système ? Entretien avec Claude Mollard.

Nous publions ici un entretien entre Claude Mollard et Pierre Souchaud, à propos de quelques propositions de réformes structurelles, pour que l’appareil étatique de l’art contemporain ne soit plus livré à lui-même. A noter que cet entretien paraîtra dans la revue Artension n°46 de mars-avril 09. Claude Mollard a contribué à la construction du Centre Pompidou, à la création des Fonds Régionaux d’Art Contemporain (FRAC), de la Délégation aux Arts Plastiques (DAP), du Centre National des Arts Plastiques (CNAP), du centre National de la Photographie et d’une centaine de projets culturels en France et dans le monde. Aujourd’hui Conseiller à la Cour des Comptes, il poursuit parallèlement une oeuvre personnelle de photographie-plasticienne...
Cliquez ici pour lire l'entretien (fichier pdf).

22 janv. 2009

Haut Conseil à la création artistique

On se souvient que lors de sa cérémonie de vœux au monde de la culture à Nîmes, Nicolas Sarkozy avait annoncé la formation d’un Conseil pour la création artistique. C’est le producteur et réalisateur Marin Karmitz qui a accepté d’en être l’animateur. Ce Haut Conseil sera présidé par Nicolas Sarkozy lui-même et l’actuelle ministre de la culture Christine Albanel.
- A lire l’article de Daniel Psenny paru dans Le Monde, édition du 23 janvier 09 : « Promis, juré : il n'a pas vendu son âme à Nicolas Sarkozy. "J'ai toujours été indépendant, et ce n'est pas à mon âge que je vais abandonner ma liberté", assure Marin Karmitz, 70 ans, quelque peu agacé...(...)... l'ancien militant gauchiste devenu un pilier incontournable du septième art assure qu'il "n'est pas passé au sarkozysme". » Cliquez ici pour lire la suite.
- A lire l’avis et l’appel de Pierre Souchaud : « Depuis je ne sais combien d’années l’institution s’est employée à massacrer le marché intérieur de l’art, à paupériser une majorité des artistes, à dévaloriser un patrimoine vivant, pour survaloriser une minorité comme produits financiers. On mesure aujourd’hui avec la crise financière mondiale, l’étendue des ravages… qui ne sont pas seulement financiers, mais aussi d’ordre patrimonial, artistique bien sûr et surtout humain… » Cliquez ici pour lire la suite.

30 déc. 2008

Que vivent les salons d’artistes !

par Pierre Souchaud
« Jusqu’au milieu des années 80, le couple artistes-galeries restait l’instance première de reconnaissance et de valorisation de l’art vivant. Les salons d’artistes, grands ou petits, à Paris ou en régions, historiques ou récents, jouaient alors un rôle important comme viviers de nouveaux artistes où pouvaient abondamment puiser les galeries. Salon d’Automne, Artistes Français, Indépendants, Comparaisons, Salon de Mai, Jeune Peinture, MAC 2000 (qui avaient lieu au prestigieux Grand Palais), Grands et Jeunes, Figuration Critique, Réalités Nouvelles, etc., étaient des lieux d’échanges et de découvertes respectés et moteurs centraux de la dynamique artistique parisienne et française… » (dossier paru dans Artension n°45, janvier-février 2009)
Cliquez ici pour lire la suite (fichier pdf)

18 déc. 2008

Xiamétra, le colloque ArtmédiaX dans tous les sens.

Martine Salzmann a assisté au Colloque International Artmédia X des 12 et 13 décembre 08. Elle nous propose ici son point de vue sous la forme d’une chronique « Xiamétra, le colloque ArtmédiaX dans tous les sens. ».
« Le 12 et 13 décembre 2008 s'est tenu à Paris, à la BNF et à l'INHA, le colloque "ArtmediaX" sur le thème "Éthique, esthétique, communication technologique ou le destin du sens" organisé par Mario Costa, professeur de l'Université de Salerne et Fred Forest, Professeur émérite de l'Université de Nice. Une trentaine d'intervenants venus d'Italie, des Etats-Unis, d'Espagne ou de France se sont soumis à la règle de vingt minutes de parole en tables de 3 ou 4 orateurs… »
Cliquez ici pour lire la suite (fichier pdf)

8 déc. 2008

« Les idées s’exposent » - essai de déconstruction

Dans le cadre de la Présidence française de l’Union européenne, l’Institut National d’Histoire de l’Art (INHA) vient d’accueillir le Forum européen de l’essai sur l’art intitulé Les idées s’exposent. Martine Salzmann a assisté à ce forum. Elle nous livre ici son analyse sous la forme d’un essai de déconstruction.
« Du 20 au 23 novembre 2008 s'est tenu à l'INHA, un Forum européen de l'essai sur l'art, intitulé Les idées s'exposent. La conférence d'ouverture L'Europe, l'invention de la modernité et l'art, rassemblait Patrice Maniglier, philosophe, Françoise Gaillard, historienne des idées et Bernard Stiegler, philosophe. Tous trois témoignaient de "l'état des idées". Bien que la rentrée culturelle de septembre nous ait fait la démonstration du triomphe de l'art contemporain, comme prise de pouvoir de Versailles avec Jeff Koons, et comme Art d'affaires à Londres, avec les ventes de Damien Hirst, il n'y a pas été fait allusion. Étrangement. Car cette actualité artistique témoigne pourtant de façon inquiétante de l'avancée occulte d'un pouvoir. Pas un mot pour saisir ce qui défigure notre présent et manipule notre avenir. La réflexion sur le triangle Europe, modernité et, art semblait n'avoir aucun lien avec la situation de l'art contemporain en Europe… »
Cliquez ici pour lire la suite (fichier pdf)

5 déc. 2008

Colloque international Artmedia X

Fred Forest, qui avait participé à la Rencontre du 22 mars 08 à la Halle St Pierre propose le Colloque International Artmedia X les 12 et 13 décembre 08 à la BNF et à l'INHA : ouverture des travaux Edgar Morin. Esthétique, Ethique, Communication technologique ou le destin du sens. Concept et organisation Mario Costa / Fred Forest. « Sommes-nous au commencement de la fin pour le système de l'art contemporain? L'art contemporain, l'art du marché, l'art institutionnel et officiel qu'on nomme aussi l'art d'affaires, va-t-il survivre à la crise? Au moment où se termine la sixième édition de la Frieze de Londres dans la morosité et va s'ouvrir la FIAC parisienne, qui selon le journal Le Monde est attendu au tournant (Edition du Dimanche 19-Lundi 20 octobre 08) ce colloque international tombe à point nommé, au moment où la crise financière fait trembler l'économie sur ses assises. La question qui se pose maintenant de façon drastique pour un certain art officiel, du marché et institutionnel, c'est celle de sa légitimité, de la validité et pérennité de ses valeurs ? Ce colloque, qui se veut ouvert et non structuré, laisse à chacun (voir le nom des participants sur notre site) la liberté d'aborder la réflexion sous un angle qui lui est propre. De fait, un processus d'accélération est maintenant engagé... »
Plus d’information en cliquant ici

21 nov. 2008

La dissidence n'est pas un bloc homogène.

« La dissidence n’est pas un bloc homogène » : le point de vue de Michel De Caso sur l’aspect pluriel et paradoxal de la dissidence.
« Le caractère expérimental de la dissidence au système de l'art contemporain accrédité, telle qu’elle s’est constituée depuis quelques années, est dû à l’hétérogénéité de ses références historiques.
De ce fait, cette dissidence est proprement en expérimentation et se déroule selon un plan autant imprévisible qu’inédit. Ne pouvant être comprise comme un bloc homogène, on y trouve des gens de toutes sensibilités politiques, comme si la critique de l’art contemporain consacré avait focalisé des aspirations de toutes tendances... ». Cliquez ici pour lire la suite (fichier pdf).

4 nov. 2008

Financial Art, son concept et son avenir.


« Financial Art, son concept et son avenir.» : l'analyse d’Aude de Kerros parue dans la revue Artension n°44 (nov.-déc.08).
« Lundi noir à Wall street, Lundi d'or chez Sotheby's. Le dénouement de la vente sidère, Damien Hirst a battu tous les records. Le message diffusé par les médias est clair: Achetez de “l'Art contemporain”! C'est de l'or! une valeur refuge! Une image apparaît partout dans le monde, le veau plongé dans du formol, veau d'or, figure du Dieu Apis. Il trône en majesté dans l'Hotel des Ventes…». Cliquez ici pour lire la suite (fichier pdf).